Avant d’instaurer le permis à point, il a enclenché la construction d’une ligne de métro à Abidjan, la capitale économique ivoirienne.

  Le permis à points, l’innovation la plus récente dans le secteur, est une manière pour de responsabiliser les automobilistes pour qu’ils deviennent eux-mêmes des acteurs de la lutte contre l’incivisme et l’insécurité routière.

Mais les chauffeurs, les plus concernés, réfutent cette idée du pouvoir ivoirien, et soulignent que les restrictions liées au permis à points les empêchent de conduire aisément.

De peur de perdre des points, ils sont désormais contraints d’être rigoureux dans leur manière de conduire et cela les ralentit dans la course à la recette journalière. En plus de cela ils perçoivent une escroquerie liée au permis à points décrit comme une stratégie pour leur soutirer de l’argent.

Cette opinion est contraire à l’intention de l’état de Côte d’Ivoire qui est de mieux réguler le secteur.

   Pour ce qui concerne le métro d’Abidjan, les populations en souffrent déjà. Cette innovation pour faciliter les déplacements des populations Abidjanaises a sévèrement impactées plusieurs familles dans la communes d’Abidjan à cause des dégâts causés par les travaux.

   Question : Comment allier innovations et bien-être des populations ? Telle est l’équation difficile à résoudre pour l’Etat friand d’innovations.