Cette pratique prend l’allure de véritable phénomène social. Pour la plupart de nos mendiants, elle tend à devenir une profession libérale.

Ils sont nombreux, ces gens de différentes tranches d’âges, errants dans les rues, les lieux publics, lieux de prières et autres. Ils s’exposent même à tous les dangers pour mendier.

En l’absence de mécanismes adéquats et de moyens efficaces pour éradiquer ou limiter le phénomène, ces « Garibous » (appellation commune des mendiants au Mali, au Burkina Faso et en Côte d’Ivoire) se font de plus en plus nombreux.

D’où viennent-ils ? Mendient-ils par contrainte ou sont-ils des ‘’professionnels de la manche ‘’ ?
Les réponses à de telles interrogations se trouvent certainement à plusieurs niveaux. Il faudra prospecter pour solutionner le mal.